ARCHIPELAGO ACT II

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The exhibition Archipelago — A Problem (On Exactitude in Science) centres around a fictitious, mental archipelago where a group of mathematicians, geologists, cartographers and other scientists try to index the measurable facets and phenomenological manifestations that they uncover during their research expedition. With Anna Betbeze, Karl Blossfeldt, Etienne ChambaudDaniel Gustav CramerCevdet ErekDominique Gonzalez-Foerster, Irene KopelmanGabriel KuriNicolás Lamas, Jochen Lempert, Benoît Maire, Jean Painlevé, Oscar Santillán, Michael E. Smith, Francisco Tropa, Joëlle Tuerlinckx and Jorinde Voigt. Curated by Niekolaas Johannes Lekkerkerk. More info via TLÖN PROJECTS

Parts Project, Den Haag. 04.11.2018 > 23.12.2018.


ALT ON INSTAGRAM

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Welcometolesalon
alt take over Le Salon instagram account for a month.


HEAVEN IN CLOUDS

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Heaven in Clouds is the title of a new work by Peter Granser in which he confronts urbanization, the exponential growth of Chinese cities and its impact on their inhabitants and on nature.

Fotomuseum, Winterthur, 02.03.2013 > 20.05.2013.


FLYERS FROM EUROPEAN CONTEMPORARY ART MUSEUMS

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À l’inititative de Francesco Rossi, la galerie RossiContemporary propose depuis quelques semaines à ses visiteurs une sélection de flyers, programmes et affiches d’institutions culturelles issues des 4 coins de l’Europe. Une occasion unique de découvrir l’actualité internationale de l’art contemporain et le travail de nombreux graphistes, à travers ces différents supports papier qui dépassent trop rarement les frontières. Le tout est gratuit et à emporter, avis aux collectionneurs…

Rossicontemporary, Bruxelles.


THOU ART MY ONLY DESIRE

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Waxy Pith presents a video installation and a performance in one act by Anna Byskov. Anna’s video and performance works traverse the indistinct zones of non-sense, contra-sense, or anti-sense, in which the absurd consistently prevails.

Bulthaup, Bruxelles. 24.11.2011, 18:30 – 21:30.


GEHIRN, GESTIRN, GESTEIN

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Sarah Westphal‘s first solo exhibition in Brussels, curated by Philippe Braem at Rossi ContemporaryGehirn, Gestirn, Gestein, mainly consists of brand new works. Central is the exploration of images that are ‘housed’ in us and haunt our mind, traces that remain after an appropiation of space. But also the conspiracy of collected relicts inwhich history literally and figuratively nestles, appears in the works on show.

Rossi Contemporary, Bruxelles. 03.12.2011  > 21.01.2012.


PRECARIOUS INTERCHANGE

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Waxy Pith, an active platform for the contemporary arts based in Brussels, presents an exhibition of works by six international artists. Sébastien Chou has realised a series of seven photographs based on a collaboration with musician Leslie Winer. The objects and projections Sophie Giraux makes touch upon time and space, limitation and infinity.Stian Ådlandsvik’s work reveals both the paradox and the original state of the treated objects. Juan Fontanive’s animate sculpture comprises handcrafted imagery and sequences of movement. The deconstructive installations and sculptural forms produced by Antonia Low evoke notions of (dis)connection. Olve Sande‘s works simultaneously encompass architecture, history and literature. Graphic design: neutre.be.

Nouvelle exposition collective de Waxy Pith, plateforme d’art contemporain basée à Bruxelles. Sébastien Chou présente 7 photographies réalisées à l’invitation de Leslie Winer. Les images, objets et dispositifs de Sophie Giraux touchent aux relations du temps et de l’espace, des limites et de l’infini, du secret. Les œuvres de Stian Ådlandsvik révèlent les paradoxes et points de vue originaux des sujets traités. Juan Fontanive s’intéresse particulièrement aux mouvements, à leurs rythmes et séquences. Les installations et objets, souvent low-tech, d’Antonia Low évoquent les notions de réseau et de connexion. Enfin, le travail d’Olve Sande oscille entre architecture, histoire et littérature.

Waxy Pith, Bruxelles. 28.10.2011 > 13.11.2011. OPENING: 28.10.2011, 19:00 > 22:00.


PUT ON A HAPPY FACE

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La couleur, expérimentée sous toutes ses formes et potentialités, constitue le médium de prédilection de Léopoldine Roux. La galerie Lucien Schweitzer lui consacre une première exposition personnelle, qui s’attaque aussi bien à l’espace urbain qu’au support en deux dimensions. Aperçu du catalogue édité à l’occasion de l’exposition: neutre

Lucien Schweitzer Galerie, Luxembourg. Afficher la couleur, 28.10.2010 > 04.12.2010.


SYLVAIN WILLENZ – NEW PROJECTS

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Sylvain Willenz will be showing new works with Established & Sons (Print Lights) and Karimoku New-Standards (Homerun Chairs) at the Milan Design week. SWDS has also launched a new website with photographies by Julien Renault.

Design week, Milan. 13.04.2010 > 19.04.2010.


PÉDILUVE REJOINT LA COLLECTION FMRA – ARTISTS BOOKS

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Le CNEAI vient d’intégrer Pédiluve à sa collection FMRA – ARTIST BOOKS. Ce livre d’artiste intègre le texte de France Valliccioni et un travail graphique et typographique, fruit d’une collaboration avec manu Blondiau (Bruxelles). Édition limitée et numérotée de 1 à 250, Pédiluve est en vente en exclusivité à Paris et à Bruxelles (Palais de Tokyo, Florence Loewy, Librairie des Femmes, Artazart et Miss Excellence).

Introduction par Fabienne Audéoud :

Normalement – ou plutôt déontologiquement – je ne devrais pas écrire sur le travail d’une copine.
Mais là, c’est plus de l’amitié, c’est de l’admiration.
Je, c’est Fabienne Audéoud…

J’ai d’abord lu 25 pages de Pédiluve et je ne me suis arrêtée. Volontairement. Pour en garder un peu pour plus tard – le livre étant assez petit. Effet polar dans un livre d’artiste – sans narration – une première pour moi.

J’ai la très nette impression d’avoir rencontré un auteur, et ça, ça me ravit. Je suis sûre que vous connaissez cette sensation… on sait déjà qu’on va tout lire, qu’on va le partager avec les amis, qu’on va en faire don -pour partager l’expérience, qu’on s’est enrichi…

La structure du livre, c’est à la fois le personnage principal, le pitch, l’histoire, le dénouement… c’est ce qui fait le livre, mais c’est autre chose qui se passe.
Je dévoile un peu l’intrigue : on comprend vite que le texte est composé de phrases adressées à l’auteur qui n’est présent que par la parole des autres. Cette technique- idée géniale à la base- au lieu d’être un
truc ou un trick, plus on la suit dans le déroulement du livre, plus on est étonné par l’effet qu’elle produit.
Ça doit s’appeler de la virtuosité, mais la simplicité du langage fait qu’on n’est jamais
impressionné par cette structure. En fait si, on est impressionné… mais dans le sens premier du terme : c’est en tant que lecteur qu’on a la sensation d’être virtuose. On n’est pas face à un auteur virtuose, on le devient.
C’est une livre qui fait
effet, un objet performatif -comme disent les anglophones- et pas une pièce dont on vous annoncerait qu’elle questionne l’identité, qu’elle met en perspective le regard de l’autre… S’il y a questionnement, c’est au lecteur de le trouver. En tout cas, moi je l’ai ressenti ce questionnement, je crois même que j’ai dû me l’énoncer clairement après en avoir bien profité – eh oui, j’adore ça, l’effet d’une œuvre.

Par exemple, c’est bien la première fois qu’une affirmation comme vous êtes fumeur me fait réfléchir. Quand je suis tombée sur cette phrase, le verbe être a pris une dimension ontologique qui m’a surprise. Quand même, se faire avoir avec vous êtes fumeur!
En fait, il est difficile de sortir des phrases du livre (ou même des extraits) pour illustrer mon propos. C’est comme montrer une image d’un film… Il faudrait faire un
trailer, monté en fonction du temps imparti pour vous séduire… on entrerait dans la comm etc… Bref, Pédiluve, c’est dans une composition qui fonctionne dans un rythme, et un rythme, ça s’établit.
En fait non, c’est plutôt une rythmique avec une sorte de groove. On n’est pas dans la musique contemporaine avec des écarts énormes de pulsations : on est presque dans du
régulier mais pas tout à fait. Là encore il faudrait parler de cette structure qui n’est pas un cadre rigide, mais une sorte de matrice qui bouge, sans qu’on s’en appercoive vraiment. Ou peut-être que c’est une grille assez fixe, mais avec des échappées, des écarts, des excroissances, un peu de saleté.

Avant de lire, j’ai cru que j’allais retrouver ma copine. J’imaginais un portrait en négatif ou dessiné par les autres. Certes, il doit y avoir de ça, on parle d’elle, mais on est très, très loin des auto-fictions. Si elle est présente, c’est plus comme un entité traversée, sans vraiment d’identité -alors même qu’on ne parle que d’elle. Elle n’est pas vraiment absente j’allais dire qu’elle n’est pas importante, mais en fait, ce n’est pas ça, elle l’est, mais on s’en fiche… (et là je parle sérieusement d’affect et de phénomène de réception). Il n’y a pas de violence dans sa présence/absence, mais une forme d’intensité.
On s’attend à quelque chose d’
auto-centré mais c’est le contraire qui se produit… Ce n’est pas pour autant éclaté mais ça parle. Seulement, je ne peux pas vous qui ou quoi…. parle.
France Valliccioni ne met pas en scène
l’autre ou même les autres à travers leur adresse. Il n’y a ni accusation, ni dénonciations, ni même représentation. Et pour moi, c’est une des grandes forces de ce travail.
Allez je me lâche : je n’aime pas beaucoup la mise en scène de l’autre, étant moi-même une autre… C’est mon côté féministe.
Je reprends : dans Pédiluve, il y a des
autres qui parlent… et leur parole tend à construire quelque chose de proche de la notion de non-existence schizophrénique, ou plutôt d’ une expérience très contemporaine où on n’est plus le réceptacle d’ informations mais où on est traversé par celles-ci…
Mais là, je rentre dans du commentaire
comment-taire… et ce que je voulais faire, c’était plutôt vous parler de l’expérience de la lecture de ce livre…