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Loin d’essayer d’englober l’intégralité de son œuvre, l’exposition On peut… On peut encore…d’Ana Jotta se concentre sur un aspect spécifique de son travail : sa façon d’investir le dessin d’une multiplicité de sens.
— Evelyne de Behr présente Silent Conversation, comment la terre s’est tue, un titre tiré de l’essai du philosophe David Abram, ouvrage qui a accompagné sa résidence en Espagne en 2023. Cette exposition met en lumière sa pratique artistique dans une démarche écologique. Les couleurs d’Andalousie sont le point de départ d’un retour sensible au vivant.
— Radek Brousil est l’auteur de nombreuses installations, travaillant principalement avec les tissus, mais aussi avec la céramique, film, photographie et vidéo. Il traite les sujets de témoignage de société, présentant ainsi une expression activiste sur un avenir incertain. L’exposition “Cry into your beer” est conçue en collaboration avec Martin Groch.
Komplot, Bruxelles. (05.11.2020 > 14.11.2020) POSTPONED to 01.01.2021.
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Dès les prémices du dialogues, Michel Mazzoni et Adriaan Verwée se sont trouvés des référents communs dans la russie du vingtième siècle : suprématisme et constructivisme, Malevitch, Lissitzky et Rodchenko : la conquête de l’espace bien avant la conquête de l’espace.
— Roeland Tweelinckx aims to rearrange and reorganise the provided things, detect changes and juxtapose layers of meaning in a stripped-down and pure visual language, which can be both practicable and non-functional.
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Avec l’installation The Evil Eye conçue pour le Prix Marcel Duchamp, Clément Cogitore aborde une relation aux images et aux grands récits fondée sur l’emploi de vidéos issues des banques d’images (Getty, Shutterstock…), grandes pourvoyeuses de formes destinées aux fins publicitaires et télévisuelles les plus diverses. Entièrement réalisées à partir d’images pré-existantes et tournées sur fond vert, les scènes anonymes de The Evil Eye opèrent une sommation de postures stéréotypées, de gestuelles génériques adaptables à l’envi sur des décors ajoutés en postproduction. En bas de l’écran, les numéros de référencement des images apparaissent tels des codes-barres.
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The exhibition is part of “Crackle & Drag,” which is the umbrella title of TR Ericsson’s practice since 2003 and has developed into an inspired chronicle of a rustbelt family in post-industrial America. What begins as a soft, searing, and complex portrait of intimacy and Americana evokes universal themes of love, loss and ephemerality.