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Julien Langendorff‘s drawings, illustrations, papercuts, films and collages have been exhibited in numerous galleries in NYC, Paris, Berlin and Victoria (Australia) since his appearance on the Paris art scene in 2005. He also collaborated with Jason Glasser, David-Ivar Herman Düne and magazines like Playboy and Vice. He is currently represented in New York by Cinders Gallery and in Paris by Fat Galerie.
Fat Galerie, Paris. Black Mirrors. 16.02.2010 > 30.03.2010.
Filed under: Art contemporain, Mode, Spectacle | Tags: défilé, Paris |
Andréa Crews est un collectif mené par Maroussia Rebecq qui agit entre art et mode en fédérant stylistes, dessinateurs, musiciens, vidéastes et performers. Andrea Crews installe un atelier de couture au Centre Pompidou, transformant des stocks de vêtements en une collection hiver-Hors Pistes, unique et événementielle. Hors Pistes s’achèvera sur un défilé haute altitude.
Filed under: Art contemporain, Photographie | Tags: livre, Paris |
Rencontre / signature autour du dernier ouvrage de Rémy Marlot paru aux éditions ANALOGUES.
Depuis 1999, l’artiste oriente son travail photographique autour des questions du paysage urbain, du jardin, des rêves et de la nuit. Les sujets mais aussi la rigueur de la construction et la résonnance picturale de l’oeuvre font la singularité de ce travail. Textes de Quentin Bajac, Valérie Pugin, Ariane Chopard-Guillaumot, entretien entre l’artiste et Michel Poivert.
Librairie du Palais de Tokyo, Paris. 23.02.2010. 19:00 > 21:00.
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Jeanne Detallante, Carven and Colette work together to create a special print on 3 special items.
A Repetto ballerina, a Petit Bateau tee-shirt and a scarf. Limited edition, exclusively at Colette.
Colette, Paris. Window Display, 08.02.2010 > 13.02.2010.
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Le CNEAI vient d’intégrer Pédiluve à sa collection FMRA – ARTIST BOOKS. Ce livre d’artiste intègre le texte de France Valliccioni et un travail graphique et typographique, fruit d’une collaboration avec manu Blondiau (Bruxelles). Édition limitée et numérotée de 1 à 250, Pédiluve est en vente en exclusivité à Paris et à Bruxelles (Palais de Tokyo, Florence Loewy, Librairie des Femmes, Artazart et Miss Excellence).
Introduction par Fabienne Audéoud :
Normalement – ou plutôt déontologiquement – je ne devrais pas écrire sur le travail d’une copine.
Mais là, c’est plus de l’amitié, c’est de l’admiration.
Je, c’est Fabienne Audéoud…
J’ai d’abord lu 25 pages de Pédiluve et je ne me suis arrêtée. Volontairement. Pour en garder un peu pour plus tard – le livre étant assez petit. Effet polar dans un livre d’artiste – sans narration – une première pour moi.
J’ai la très nette impression d’avoir rencontré un auteur, et ça, ça me ravit. Je suis sûre que vous connaissez cette sensation… on sait déjà qu’on va tout lire, qu’on va le partager avec les amis, qu’on va en faire don -pour partager l’expérience, qu’on s’est enrichi…
La structure du livre, c’est à la fois le personnage principal, le pitch, l’histoire, le dénouement… c’est ce qui fait le livre, mais c’est autre chose qui se passe.
Je dévoile un peu l’intrigue : on comprend vite que le texte est composé de phrases adressées à l’auteur qui n’est présent que par la parole des autres. Cette technique- idée géniale à la base- au lieu d’être un truc ou un trick, plus on la suit dans le déroulement du livre, plus on est étonné par l’effet qu’elle produit.
Ça doit s’appeler de la virtuosité, mais la simplicité du langage fait qu’on n’est jamais impressionné par cette structure. En fait si, on est impressionné… mais dans le sens premier du terme : c’est en tant que lecteur qu’on a la sensation d’être virtuose. On n’est pas face à un auteur virtuose, on le devient.
C’est une livre qui fait effet, un objet performatif -comme disent les anglophones- et pas une pièce dont on vous annoncerait qu’elle questionne l’identité, qu’elle met en perspective le regard de l’autre… S’il y a questionnement, c’est au lecteur de le trouver. En tout cas, moi je l’ai ressenti ce questionnement, je crois même que j’ai dû me l’énoncer clairement après en avoir bien profité – eh oui, j’adore ça, l’effet d’une œuvre.
Par exemple, c’est bien la première fois qu’une affirmation comme vous êtes fumeur me fait réfléchir. Quand je suis tombée sur cette phrase, le verbe être a pris une dimension ontologique qui m’a surprise. Quand même, se faire avoir avec vous êtes fumeur!
En fait, il est difficile de sortir des phrases du livre (ou même des extraits) pour illustrer mon propos. C’est comme montrer une image d’un film… Il faudrait faire un trailer, monté en fonction du temps imparti pour vous séduire… on entrerait dans la comm etc… Bref, Pédiluve, c’est dans une composition qui fonctionne dans un rythme, et un rythme, ça s’établit.
En fait non, c’est plutôt une rythmique avec une sorte de groove. On n’est pas dans la musique contemporaine avec des écarts énormes de pulsations : on est presque dans du régulier mais pas tout à fait. Là encore il faudrait parler de cette structure qui n’est pas un cadre rigide, mais une sorte de matrice qui bouge, sans qu’on s’en appercoive vraiment. Ou peut-être que c’est une grille assez fixe, mais avec des échappées, des écarts, des excroissances, un peu de saleté.
Avant de lire, j’ai cru que j’allais retrouver ma copine. J’imaginais un portrait en négatif ou dessiné par les autres. Certes, il doit y avoir de ça, on parle d’elle, mais on est très, très loin des auto-fictions. Si elle est présente, c’est plus comme un entité traversée, sans vraiment d’identité -alors même qu’on ne parle que d’elle. Elle n’est pas vraiment absente j’allais dire qu’elle n’est pas importante, mais en fait, ce n’est pas ça, elle l’est, mais on s’en fiche… (et là je parle sérieusement d’affect et de phénomène de réception). Il n’y a pas de violence dans sa présence/absence, mais une forme d’intensité.
On s’attend à quelque chose d’auto-centré mais c’est le contraire qui se produit… Ce n’est pas pour autant éclaté mais ça parle. Seulement, je ne peux pas vous qui ou quoi…. parle.
France Valliccioni ne met pas en scène l’autre ou même les autres à travers leur adresse. Il n’y a ni accusation, ni dénonciations, ni même représentation. Et pour moi, c’est une des grandes forces de ce travail.
Allez je me lâche : je n’aime pas beaucoup la mise en scène de l’autre, étant moi-même une autre… C’est mon côté féministe.
Je reprends : dans Pédiluve, il y a des autres qui parlent… et leur parole tend à construire quelque chose de proche de la notion de non-existence schizophrénique, ou plutôt d’ une expérience très contemporaine où on n’est plus le réceptacle d’ informations mais où on est traversé par celles-ci…
Mais là, je rentre dans du commentaire comment-taire… et ce que je voulais faire, c’était plutôt vous parler de l’expérience de la lecture de ce livre…
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Pour la deuxième année consécutive, Berlin et Paris échangent certaines de leurs galeries parmi les plus renommées. Après Berlin, c’est donc au tour de 13 galeries de la capitale allemande, dont carlier – gebauer, Chert, Kamm, Johann König, Gregor Podnar (photo), schleicher+lange et Sommer & Kohl, de présenter leurs artistes chez leurs partenaires parisiens.
BERLIN – PARIS 2010 : Marcelle Alix – Carlos Cardenas – Gaudel de Stampa – Balice Hertling – Jousse Entreprise – Kamel Mennour – Nelson-Freeman – Nathalie Obadia – Emmanuel Perrotin – Michel Rein – Denise René, rive gauche – Natalie Seroussi, Paris. 29.01.2010 > 06.02.2010.
Filed under: Art contemporain | Tags: exposition, galerie, Paris |
“My current work addresses both the labor of being an artist and the disappointment that often comes with that choice. I have a full time job as a Production Manager for Zac Posen in order to pay rent, but I come home most nights and put in several additional hours in my studio. Each piece I create is an investment of time and work. I am creating hand cut paper funeral wreaths with text pulled from my rejection letters which I have also hand stitched. These letters, like work and death are all part of the life of being an artist. » – Gina Dawson
Galerie Jeanroch Dard, Paris. 09.01.2010 > 06.02.2010